Kobe

(article régulièrement mis à jour)

Kobe : entre ciel d'acier et mémoire salée

Au pied du Mont Rokkō, bordée par la mer intérieure de Seto, Kobe incarne une forme d’élégance urbaine à la japonaise — sobre, vivante, ouverte. Dans Le Crépuscule de la Veuve blanche, c’est ici que s’amorce un contrechamp lumineux à la noirceur de Nishinari. Mais Kobe ne se laisse pas dompter aussi facilement…


Kobe vue depuis le mont Rokko.

Sannomiya : cœur battant de la ville

Sannomiya, c’est l’épicentre nerveux de Kobe. Une gare, une croisée de lignes, un vortex d’activités.
De jour comme de nuit, les rues alentour vibrent d’un mélange d’affaires, de shopping et de culture populaire. Izakayas minuscules, cafés design, arcades commerçantes... Sannomiya est le nœud de tension entre l’ancien et le moderne.

Dans le roman, c'est là qu'Alice et Sora se rendent lorsqu'elles arrivent en ville (vous pouvez même voir dans la photo ci-dessous, l'enseigne du fast-food où elles finissent leur première nuit)

Sannomiya.

Kobe port Tower

Inaugurée en 1963, la Kobe Port Tower est plus qu’un emblème : c’est une sentinelle silencieuse, témoin de la résilience de la ville après le grand tremblement de terre de 1995. Sa structure tubulaire unique, inspirée d’un tambour tsuzumi, semble flotter entre ciel et mer. Le soir, illuminée de rouge et de blanc, elle veille sur les ombres du port comme un gardien figé, incapable de prévenir les drames — mais toujours là pour les contempler.


La Kobe port Tower.




Previous Post Next Post